MOLIÈRE PLACE DES DISPUTES

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NOTE D’INTENTION

  

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NOTE D’INTENTION
Taïra Borée

Lorsqu’à 16 ans, élève au cours Simon., je rencontre Toinette, dans le Malade Imaginaire, je découvre une langue , une musique, qui va s’inscrire à tout jamais dans mon patrimoine génétique.
Je découvre à travers les rires de mes camarades, ce potentiel comique que Molière me permet de développer. Je découvre grâce à la puissance de ce texte de quel formidable instrument de
transmission l’acteur de théâtre, est dépositaire.! La graine est plantée…

Aujourd’hui, pourquoi est-il si important, d’occuper la Scène du théâtre? Parce qu’elle est un lieu de rencontres, rencontre avec soi d’abord, avec ses partenaires, avec l’auteur, et surtout avec le
public avec qui nous partageons nos émotions, nos failles… en un mot, notre Humanité avec ce qu’elle recèle de beauté et de bassesse.

Ce partage n’a lieu qu’à une seule condition :
L’authenticité de l’acteur, l’Etre, et non le Faire. C’est à ce prix que le spectateur peut s’identifier, se reconnaître, et rire de lui–même (ce qui est un signe de bonne santé).compagnie du belouga spectacle moliere place des disputes

Nous connaissons tous l’incroyable actualité de Molière : son intelligence du quotidien, sa capacité d’analyse de l’âme humaine, et ce sens inné de la comédie qui, grâce au rire nous permet de nous
interroger sur nous-mêmes.

MOLIERE, PLACE DES DISPUTES, est le fruit de ma rencontre avec Molière. Car la dispute, aussi, est une rencontre, et cette place, lieu de passage où se croisent 24 personnages, portés par 3 comédiens, nous invite à nous reconnaître, à nous identifier, et à, possiblement, nous remettre en question… Voisins, parents, amis, et collègues, traversent cette place comme nous traversons la vie, avec nos qualités, nos travers, nos petits arrangements, et nos….disputes.

Ce sont ces rencontres qui nous construisent et qui construisent notre devenir. Sans la rencontre avec Aimée Leballeur et Savério Maligno comédiens, avec Frédéric Sagot, scénographe et Laurence Magnanelli, costumière, ce spectacle n’aurait jamais pu s’accomplir…

 

 

SCENOGRAPHIE

SCENOGRAPHIE

Frédéric Sagot

Lors de ma première rencontre avec Taïra Borée, ce qui m’a immédiatement frappé c’est sa lumière. C’est elle que je retrouve depuis lors dès qu’elle EST comédienne.

Au-delà du principe de la simple représentation ce qui est palpable c’est le lien profond, l’humanité qui l’unit à ses acteurs, à ses élèves ou à ses partenaires de jeu.
Très vite donc nous en vînmes à parler de ce qui devait être SON MOLIERE.

Le titre? MOLIERE, PLACE DES DISPUTES. l’intention était belle. Rendre l’auteur du bourgeois, le Fournisseur des divertissements royaux, le Comédien de l’Hôtel de Bourgogne, à l’ILLUSTRE
THEATRE qui a vu ses débuts, à ce que nous appellerions aujourd’hui les “Arts de la Rue” et dire à nouveau l’actualité de son propos. Inverser à nouveau la polarité. Aller à la rencontre du public, partout où il se trouve, à la campagne comme en ville, sur les places, hors les murs, autour de monuments publics ou privés, où l’histoire est vivante, dans la cour des établissements d’enseignement ou de soins, dans les espaces consacrés à d’autres formes d’Art, au sein même des Entreprises.

Pour ce faire, une formation minimale : trois acteurs de théâtre interprétant 24 personnages, en costume d’époque (le travail de Laurence MAGNANELLI).
Pour les Décors? contrainte artistique : jouer avec le même dispositif en extérieur comme en intérieur, in situ donc mais également sur scène. Contraintes techniques logistiques : faire simple,
léger… Des échelles, des paravents,…

Pour mémoire, au XVIIe siècle , les décors du Théâtre forain et bientôt de son homologue des salles, étaient peints. Des “tableaux” constituaient alors, pour l’essentiel, la toile de fond des
différentes scènes.
Les “habits de theâtre” étaient proches des vêtements que l’on portait en ville. Ils appartenaient généralement aux comédiens. Récupération et réemploi étaient de mise.
Une lecture contemporaine s’est rapidement imposée à moi. Une approche conceptuelle, pour acter la renaissance de la Comédie, et dire une nouvelle relation à l’oeuvre.
Une forme d’État projet. La définition d’un objet scénique, plus qu’un décor. Une installation. La production et la mise en situation de différents artefacts, tous revisités.
Pour avoir souvent détourné des échelles dans mes créations d’environnements, je connaissais bien l’objet, et les limites de son emploi.. Au-delà sa fonction unique, je me suis intéressé ici aux
symboles, à l’accès, l’ascension par degrés à son profil, en forme de compas, à l’univers des métiers auxquels il se rattache. J’ai retenu, dans ma proposition, une échelle double, de peintre en
bâtiment, dressée là, en abyme, entre lignes de fuite et point de convergence. J’ai “déstructuré” les autres.

Les changements rapides de costumes (un des savoir-faire de Laurence Magnanelli) ne devaient pas s’effectuer “à vue”. J’ai ici fait le choix “d’externaliser leur bâtis, de dissocier leurs feuilles. Aux
tapisseries, dont elles pouvaient être garnies, et dont Jean POQUELIN père faisait commerce, j’ai préféré le rendu de ce qui, à l’époque, n’aurait été que les études d’un Peintre-Cartonnier.

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MOLIÈRE PLACE DES DISPUTES

À partir de ses châssis de paravents (virtuels), de ces montants et barreaux (empruntés à de possibles échelles) j’ai imaginé, au milieu de la composition, entre Cour et Jardin, une structure
orthogonale (non organique), ou un exosquelette (à contrario), monochrome et en version 3D. Le bois, omniprésent, en écho avec les planches ou les tréteaux.

C’est elle qui dit le Lieu (Culturel) à grand traits. En son centre, au-dehors. Elle porte, par endroit, des ouvrants de fenêtres. On les voit de la Place. Ils donnent sur la rue, à l’angle. Élévations,
façades. Au fond, une ruelle. Il y a là une cour, mais aussi des jardins. On devine des portes, et autant d’intérieurs.

La théorie, propre à chacun des cartons, se joue à la perspective cavalière (ou à l’italienne) de l’ensemble. Trois images arrêtées. Entre scène et coulisses, elles sont là, Immobiles. Plus ou
moins engagées, En léger porte-à-faux. Elles échappent au cadre, à ce qui fait tableau.
D’autres entrées possibles : une préfiguration d’un Théâtre d’ENGELBRECHT, ou bien celle d’une Caméra lucida. Un référentiel galiléen. Une maquette en volume (mais on ne sait de quoi), dont
l’échelle, justement, serait proche de l’entier 1. La reprise d’un dialogue, longtemps interrompu, entre la comédienne et l’architecture. Une étrange allégorie, détachée d’un livre d’emblème. Une
pause, sur l’un des nombreux chantiers du règne. Une simple caisse, ouverte, au moment d’un envoi. La promesse d’un ailleurs…

Avec Laurence Magnanelli, nous avons, dès le début, partagé cette même topique contemporaine.
Ensemble, nous sommes revenus aux sources (le Livre du Courtisan, les états des Manufactures), et avons repris les rares études consacrées à l’évolution de l’habitus vestimentaire, entre la fin du
XVIe et le début du XVIIIe siècle. Les costumes de scène participaient, alors, des mêmes usages et des mêmes règles.

Nous y avons retrouvé la forte mixité sociale des villes (cadre des pièces de MOLIERE). Une économie marquée par la pénurie. L’influence des ressources locales. Un coût élevé (fabrication
domestique ou achat extérieur). Une relation complexe entre pudeur et exhibition, protection et apparence. Une nudité infamante (signe de pauvreté, au même titre que l’usure, ou bien
l’ancienneté), et un corps (aristocratique) dénaturalisé (fards, parfums).

La place de l’inné et de l’acquis.
De forts marqueurs sociaux (identité), mais également, politiques ou religieux.
Une mode, internationale, avant tout masculine, oscillant entre austérité et extravagance, allant de l’anarchie du baroque au classicisme naissant.
Le Costume français : brodé d’or et d’argent.
Omniprésence des dentelles (+/- fines et abondantes).
La couleur, symbole de pouvoir (courtisans, mais aussi comédiens).
La matité (à l’inverse) du drap dont sont faits les habits des bourgeois.
Transmission (dons, hoiries), récupération (Fripiers).
Les matières (chanvre grossier, lin, coton, soie), les tissus (Serge, velours, toile, satin).

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LES COMEDIENS

AIMEE LEBALLEUR
Artiste pluridisciplinaire et éclectique, Aimée Leballeur se promène depuis 1998 sur les scènes de France et d’ailleurs.
Comédienne et chanteuse, elle exerce ses talents dans des registres très variés, allant du cabaret au théâtre contemporain, en passant par la chanson fantaisiste et le théâtre
masqué.
Après des études au Conservatoire National d’Art Dramatique de la ville d’Orléans , elle a travaillé avec la compagnie Clin d’Oeil , la Cie Gérard Audax, la Cie du Faux-Col,
La Tortue Magique, Sub’Théâtre, Les Fous de Bassan, le Krizo théâtre.

Elle a effectué de nombreuses tournées en France et à l’étranger, aussi bien sur scène que dans les festivals de théâtre de rue.
Elle est le tiers irrévérencieux du trio musical Amuse-gueules, avec lequel elle explore depuis une dizaine d’années le répertoire français de la chanson fantaisiste.

On peut la voir actuellement sur scène dans plusieurs spectacles :
Chantons sous la Crise : écriture et mise en scène Jérôme Marin . Cie de l’Eau qui dort Y’en a marre de l’Amour de Dürringer, mise en scène Manouchka Récoché, Cie Le Grand Souk
Les Vies d’Ulysse : mise en scène Christophe Thébault Cie KRIZO théâtre Le Jeu des 7 Familles du Théâtre de Yves Javeau, mise en scène Gérard Audax , Cie Clin d’oeil.

 

TAIRA BOREE

Comédienne, chanteuse, auteur, metteur en scène , directrice de salle, intervenante en milieu scolaire et directrice artistique de la Cie du Bélouga.
Elle a fait ses classes avec la Cie l’Astrolabe la Cie Attrape Théâtre, la Charabotte, la Cie Ecla Théâtre , le théâtre de la Forge, les Désinents et travaille à la Cie du
Bélouga .
Au cinéma, elle a tourné avec Jean Jacques Annaud dans Sa majesté Minor (2ème rôle féminin) , avec Laure Charpentier dans « Gigola », avec Jean-Louis Milési dans «Fragile » avec Catherine Lestel, dans 48h par jour, avec Besson dans Le Baiser mortel du dragon, avec Jean-Pierre Amérys dans Famille à louer avec Christophe Lefèvre dans A love you, avec Emma Lucchini dans un Début Prometteur A la télévision Mme FORTIN la maman de Mon incroyable Fiancé, Pendant 10 ans , Soeur Marie-Myriam, dans Soeur Thérèse.com , Hélène Jégado (rôle titre) dans La
Jégado de Pierre Mathiotte ; elle a été guest dans RIS et dans 200M Pour Pégase Prod elle a mis en scène le spectacle équestre 2015 et 2016 de Chambord., ainsi que Les Cousins, Bleu Marine production, la Fox compagnie, et avec sa cie, Les Fiancés de Loches de Feydeau, Un jour peut-être d’après Andrée Chédid, Le p’tit bal des histoires perdues , Bruissement d’elles, les soeurs Normandie,, Jules Verne le défi.

Bambélé l’enfant pâle etc….

Comme auteur, elle a écrit Le rire amer du Bélouga, Le p’tit bal des histoires perdues, Station des oubliés, un Jour peut-être d’après Andrée Chédid, Bruissement d’elles, d’après Prévert, Prophétie, Les soeurs Normandie, Bambélé l’enfant pâle, la Mère Noël pique sa crise, la Mère Noël se recycle, Mais où est passé le Père Noël ?

Elle appartient à la Ligue d’improvisation Française (Bataclan, Européen, Cirque d’Hiver, Elysée Montmartre, capitaine de l’équipe de France, 3 fois championne du monde d’impro.

 

SAVERIO MALIGNO

Ces derniers mois, on l’a croisé à la télévision dans la dernière série événement de Gabriel Aghion : « La vie devant elles », « Baron Noir » de Ziad Doueiri , « Les témoins » de Hervé Hadmar.
Sa bobine est également dans la dernière campagne de pub humoristique TOYOTA – L’écolo réalisée par Philippe Lacheau (Babysitting) ou encore L’avocat dans la campagne « La Laitière – c’est trop bon ! ». Enfin, il a prêté sa voix à Requinou-le requin peureux dans la série animée, diffusée tout les samedis sur France 5 : « César et Capucine » dirigée par Brigitte Lecordier.

A la télévison, il tourne sous la direction de Babou Rappeneau, Jacques Renard, Harry Cleven, Bernard Stora, Denis Malleval…
Au cinéma, il a joué sous la direction de Yolande Moreau.
Au théâtre, il joue sous la direction de Maria Ducceschi, David Gauchard, Serge Noyelle, Bruno Lajara, Olivier Subts, Yves Brulois, Doreen Vasseur, Stéphane Boucherie .
Il prête sa voix dans plusieurs séries télévisées House of cards , 24 heures , The Event …sous la direction de Philippe Peythieu, Catherine le Lann, Sylvain Monod, Laurence Mauro…

En rue il a joué avec les Générics Vapeur, La Constellation…
Comme auteur, il a écrit entre autre : L’ennemi, c’est l’autre!, Neige, Les Faussaires Falsari, The John Mitone Show!, César Danglos revient des enfers !, Les aventures de Mr Croque Théâtre…
Il présente durant trois ans une émission mensuelle En attendant le Louvre sur la TNT Nord Pas-de-Calais WEO.

Il est créateur et réalisateur de l’émission Louvrez-vous ! diffusée sur WEO (30 épisodes). Il réalise, depuis de nombreuses années, des Dramatiques Radiophoniques.

 

L’EQUIPE TECHNIQUE

COSTUMIERE : LAURENCE MAGNANELLI
Après une formation en BTS de costumier du spectacle, à l’Ecole Art et Style à Lyon, elle travaille à l’atelier Delascène Alarue / Donate Marchand à Paris.
Professionnelle depuis 1989 elle est habilleuse au CRATERE THEATRE d’Ales (Scène nationale).

De 1996 à 2007 elle crée et réalise plusieurs centaines de costumes de toutes époques pour des fresques historiques à grand spectacle mises en scène par Yvan Chiffre.
Elle est la costumière officielle des spectacles historiques de Montrichard de 2001 à 2013.

Elle réalise, pour la cie de l’écharpe blanche de Montpellier, les costumes de l’annonce faite à Marie, Tartuffe, et le songe d’une Nuit d’Eté.

Pour la CIE ECLIPSE d’Ales elle crée les Aurores de Sand, Carmen, Madame Butterfly.
Pendant 5 ans, elle participe à la création de costumes orientaux pour le Théâtre du Pélican à Clermont Ferrand.
Elle crée depuis 1999 tous les costumes des spectacles équestres de PEGASE PROD/FREDERIC SANABRA et notamment en 2015 et 2016, ceux du spectacle équestre du Château de Chambord mis en scène par Taïra Borée, Elle habille de grosses manifestations historiques comme la semaine Cévenole, les CARITATS de Bézier, les fêtes de la déraison, la Franche Foire de Tourcoing….

Depuis 1993, elle présente dans toute la France des expositions animées sur le costume à travers le temps.

 

LE SCENOGRAPHE : FREDERIC SAGOT

Jeune plasticien (dessins, sculpture), c’est tout naturellement que ses premiers jobs d’étudiant en sciences humaines (Paris XV Sorbonne) l’amènent à intervenir dans l’univers de la publicité ou dans celui de la mode.

Le théâtre n’est pas loin, bien sûr (Bernard Bimont), mais en ce début des années 80′ c’est en tant que Directeur artistique ou Concepteur/Rédacteur free-lance qu’il poursuit sa carrière, intervenant sur les différentes tendances du marketing – Mix.

Ses collaborations avec Joss Duval lui permettent de se découvrir Ludographe. Il crée, en 1988, la première Agence française de Communication ludique (LUDICOM’), structure avec laquelle il intervient, pendant près de quatre années, auprès d’une trentaine d’Annonceurs et d’Agences conseils.

Il revient, dès 1993, à ses premières amours, dans les domaines de la Culture et des arts plastiques.
Cette fois, c’est en tant que Galeriste ou Commissaire qu’il assure, à Paris comme en province, le montage de plus de 130 expositions d’Art contemporain.

Il élargit, à partir de 1999, les activités de sa galerie aux arts du XXe siècle. Il renoue alors avec des formes d’expression plus personnelles (Designers, Scénographe), Auprès d’une clientèle d’Entreprises et de Particuliers. Il ouvre en 2006 un atelier dédié dans le Loiret.

Ce MOLIÈRE, PLACE DES DISPUTES marque à l’initiative de Taïra Borée, sa première collaboration avec la COMPAGNIE DU BELOUGA.

De cet éclectisme de façade, entre métiers de la Culture et de la Communication, on retiendra avant tout la créativité. Elle s’appuie sur un travail de regard et d’écoute, une
priorité donnée à l’existant, une transversalité des compétences, une quête de sens, une esthétique, un amour immodéré des mots, de l’image… Et une vraie lenteur.

 
 

 

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